otre père et moi prîmes le chemin des écoliers, par la "Route de Charost," l'ancienne route des diligences vers Paris, à travers champs, comme si père et fils se promenaient. Les pieds boursouflés de mon père lui causaient sans aucun doute des souffrances intolérables.
En cours de route il trouva un couteau de paysan à manche de nacre qu'il me donna; je n'avais jamais osé espérer être en possession de quelque chose d'aussi beau.
Cette merveille, don de mon père, fut mon talisman pendant des années.